- En collaboration avec L’Institut Français de l’Ile Maurice et le soutien de l’Ambassade de France à l’île Maurice.
- Fesitival organisé par Barlen Pyamootoo
- Au programme de cette première partie autour du Festival du Livre de Trou d’Eau Douce : Ananda Devi (auteure), Barlen Pyamootoo (auteur, cinéaste, initiateur du festival), Judith Gueyfier (illustratrice), Amarnath Hosany (auteur). Puis quelques extraits des concerts de Esprit Ravanne avec le quartet Tiombô et Sarah Honoré. Ainsi qu’un reportage sur les jeunes de l’Atelier MO’ZAR et une interview du chanteur Ras Ninin.
Barlen Pyamootoo (auteur, cinéaste, initiateur du festival)
« A l’autre bout de Maurice, Trou d’Eau Douce est un lieu de dépaysement même pour les Mauriciens. Ce petit village absorbé par les activités de l’agriculture et de la mer est la capitale littéraire de Maurice depuis quatre jours. D’habitude jaloux de la vie tranquille qui passe dans la localité où il est installé depuis 28 ans, Barlen Pyamootoo, ne peut y faire deux pas en ce moment sans êtes sollicité.
Pourquoi un festival du livre dans un lieu si éloignée, atypique ? « Parce que j’y vis », répond Barlen Pyamootoo*. « Nous voulons mettre en place la littérature à Trou d’Eau Douce. C’est un pari car les gens de ma génération sont en grande partie analphabètes »,* ajoute-t-il.
Devenu une figure emblématique de la vie littéraire mauricienne depuis son premier roman Bénarès, publié en 1999, Barlen Pyamootoo est plus qu’un écrivain. C’est « un activiste culturel », remarque Umar Timol, une des étoiles montantes de la littérature du pays, présente à Trou d’Eau Douce. »
Source : Au Festival du livre de Trou d’Eau Douce, le petit évènement se voit déjà grand (rfi.fr)
Reportage à l’Atelier Mo’zar
« …La musique procure, depuis 1996, un exutoire aux enfants de Roche-Bois, quartier à la périphérie de la capitale Mauricienne. Mo’Zar est le fruit d’un rêve un peu fou. Celui d’éviter à ces apprentis d’un genre particulier de végéter à la périphérie du développement, de leur permettre de trouver un emploi à travers le solfège au lieu de se laisser vivre, de faire du savoir des rythmes un tremplin. Ces souffles qui donnent vie à des mélodies tantôt suaves, tantôt rythmées, vibrent un peu comme une nouvelle naissance. Si l’espérance avait un nom, maintenant, elle a aussi un son… »
Source : Extrait du magazine Evasion, septembre 2009
Atelier Mo’Zar : les étapes marquantes de 25 ans de combat pour l’inclusion | Le Mauricien
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Kavinien Karupudayyan, Amarnath Hosany et Judith Gueyfier
– lecture d’un extrait de « Contes indiens de l’île Maurice » de Kavinien Karupudayyan et Amarnath Hosany, illustrations de Judith Gueyfier aux éditions Atelier Des Nomades
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